Et les gens restèrent chez eux. Ils lurent des livres, écoutèrent, se reposèrent, firent de l’exercice, firent de l’art, jouèrent à des jeux et apprirent de nouvelles façons d’être. Et ils écoutèrent davantage. Certains méditaient, d’autres priaient, d’autres encore dansaient. D’autres rencontrèrent leurs ombres. Et les gens se mirent à penser différemment.
Et les gens guérirent. Et, en l’absence de personnes ignorantes, dangereuses, insensées et sans cœur, la terre commença à cicatriser.
Et quand le danger fut passé, et que les gens se rassemblèrent à nouveau, ils pleurèrent leurs pertes, firent de nouveaux choix, rêvèrent de nouvelles images, et créèrent de nouvelles façons de vivre et de guérir la terre pleinement, comme ils furent guéris.
– Kitty O’Meara (1869)
Il est prémonitoire, ce texte...Non?
RépondreSupprimerCe texte ferait référence à une épidémie de variole due elle aussi à un virus.
RépondreSupprimerhttps://www.cairn.info/revue-les-tribunes-de-la-sante1-2011-4-page-25.htm#
https://ressourcessante.salutbonjour.ca/condition/getcondition/variole