Le lapin
Guillaume Apollinaire
Je connais un autre connin
Que tout vivant je voudrais prendre.
Sa garenne est parmi le thym
Des vallons du pays de Tendre.
Guillaume Apollinaire, Le Bestiaire, ou Cortège d’Orphée, 1911
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Les lapins sucrés
Le Papet alluma sa pipe, et demanda : "Il y a du nouveau ? - Oui, et il y a du bon et du mauvais. Premièrement, les vastes projets, c...
-
https://www.facebook.com/reel/452197683906000 Je transcris les paroles accompagnant la vidéo par écrit pour mes lecteurs anglophones nombreu...
Les connins sont assez bien cachés dans le dessin mais en cherchant bien......
RépondreSupprimerCertains sont dans leur terrier ! 🐰🐰
RépondreSupprimerApollinaire ne parlait pas forcément d'un vrai lapin... :-)
RépondreSupprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Je trouvais ce texte effectivement très mystérieux ! 😉 Je cherchais un poème sur les lapins mais à part Théodore de Banville, rien !... Enfin si, une poésie extrêmement triste de Maurice Carême...
Supprimer