jeudi 18 août 2022

Cette douleur est-elle la mienne ?


Ce matin par le plus grand des hasards je lisais :

"Les non résolus reviennent sous la forme d'un destin." Carl Jung
"Celui qui ne connaît pas son histoire a tendance à la répéter." Bert Hellinger
"Nous sommes moins libres qu'on ne le croit." Anne Ancelin Schutzenberger
"Tout le monde devrait connaître son arbre généalogique. La famille est notre coffre au trésor ou notre piège mortel." Alexandre Jodorowsky
« Ce qui se tait la première génération, la deuxième le porte dans son corps ». Francoise Doltó

 "Ceux que nous aimons et que nous avons perdus ne sont plus là où ils étaient ; ils sont maintenant là où nous sommes ". Saint Augustin


De quoi se poser quelques questions sur mon propre état physique...

(arrachement osseux et désinsertion totale du LCP et on n'opère plus même chez les jeunes a dit le chirurgien !)

IRM genou droit de cette semaine suite à entorse en juin : arrachement osseux tibial non déplacé en regard de l'insertion du ligament croisé posterieur

IRM genou gauche du mois de juin : microfissure radiaire du bord libre de la corne moyenne du ménisque latéral (grade III)

Voilà qui me fait de belles jambes !


 Et à l'instant, toujours par hasard !...

8 commentaires:

  1. Bonsoir Biche
    Nous héritons hélas de certaines blessures de nos parents ou grands-parents. Est-ce le cas pour toi ?
    Je connais les miennes, je connais leur origine, mais alors pourquoi insistent-elles ? Peut-être est-ce que je ne les écoute pas assez, peut-être faudrait-il que j'en prenne davantage soin (cf Bonheur du Jour) ?
    Le problème que tu as avec tes genoux a sûrement une histoire, lui aussi...
    Bonne soirée, Biche.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui Françoise, mes Je Nous ont certainement plusieurs histoires comme une fragilité génétique d'une branche familiale. Je viens de penser également à l'autre branche familiale avec un arrière grand-père qui avait, il me semble, subi une amputation d'une jambe. Je pense aussi à des ancêtres d'origine espagnole, aux femmes qui ont beaucoup trop travaillé, sans s'arrêter, sans repos, constamment debout dans les champs et les vignes, à s'occuper des enfants, des repas, de la tenue de la maison, du lavage du linge au lavoir, porter de lourdes charges, s'occuper des parents âgés, etc... comme cela était le cas pour beaucoup de femmes à l'époque. S'il faut remonter aux croisades !... Aux Maures, etc !... Si en plus le karma s'en mêle ! La torture des brodequins par exemple, infligée ou subie ?! Bref, je ne le saurai jamais et ça n'a peut-être aucun intérêt de le savoir d'ailleurs. Les blessures de guerre, les accidents... Le maître mot est sans doute "acceptation" de la situation actuelle. RV chez le chirurgien la semaine prochaine pour décider de ce que l'on va faire sur ce ménisque très douloureux lorsque je suis debout et accessoirement sur cet arrachement osseux. Il m'avait déjà dit en juin dernier que d'après les radios il n'y avait pas d'indication de prothèse de genou (je l'avais consulté deux jours avant mon entorse de l'autre genou !...)

      Supprimer
    2. Oui, accepter est déjà le début de la guérison, en tous cas, cela aide beaucoup.
      Tu as en effet beaucoup de raisons d'avoir mal aux genoux, au lire de tes antécédents. As-tu lu le livre de Michel Odoul : "Dis moi où tu as mal, je te dirai pourquoi" ? Il y a plusieurs paragraphes parlant des maux du genou, c'est très intéressant. Si tu veux, je te scanne les pages et te les envoie ?

      Supprimer
    3. Non, je n'ai jamais entendu parler de ce livre. Je serai intéressée par ces pages dont tu me parles. Je t'ai envoyé un mail et merci beaucoup et bonne journée Françoise !🙂🦵

      Supprimer
    4. Et merci beaucoup pour la psychanalyse Françoise ! ;-)

      Supprimer
    5. (sourire) Belle journée, Biche ! 🙂

      Supprimer
  2. La phrase que je préfère : ""Ceux que nous aimons et que nous avons perdus ne sont plus là où ils étaient ; ils sont maintenant là où nous sommes "
    Il est vrai qu'ils ne sont pas tout à fait disparus tant qu'ils restent dans nos souvenirs.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui, en nous...
      Hier justement j'étais à un enterrement , un chat debout accueillait les gens dans l'entrée du crématorium, absolument pas effrayé par la foule. Ensuite pendant la cérémonie j'ai vu ce chat à travers les baies vitrées, il avait une souris dans la gueule qu'il a ramenée dans une annexe du bâtiment.

      Supprimer

La magie de la pleine lune