Fouler le ciel à terre avec ses odeurs d'humus et de champignons.
En attendant, je reste, pétrifié, assis derrière la vitre et regarde les oiseaux en pensant à Nicolas Dieterlé.
Dans le sapin le plus proche, les oiseaux, nombreux, semblent se concentrer. A un moment, l'un d'eux lève une de ses ailes comme s'il indiquait une direction. Il s'envole. Les autres suivent. Rêver où ils vont me suffit!



