CHACUN Y TROUVE SON CONTE...
lundi 11 février 2019
Le voreux
Et le Voreux, au fond de son trou, avec son tassement de bête méchante, s’écrasait davantage, respirait d’une haleine plus grosse et plus longue, l’air gêné par sa digestion pénible de chair humaine.
Emile Zola - LES ROUGON-MACQUART - Germinal
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Il neige encore, les oiseaux ont faim !
A vec la participation de mon fils ; quant à moi, je me suis occupée de la couleur et de la neige !
N'importe quoi ! 🌲🌲🌲
https://www.facebook.com/reel/452197683906000 Je transcris les paroles accompagnant la vidéo par écrit pour mes lecteurs anglophones nombreu...
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